Cette évolution ne se limite pas à un élargissement géographique ni à une simple addition de fédérations et de centres sociaux.

Nous bénéficions maintenant d’une union régionale enrichie d’une précieuse diversification de territoires, de modes de fonctionnement, d’expériences vécues …, ainsi que d’un potentiel accru d’échanges et de coopérations, intérieurs et extérieurs au réseau.

Les transformations qu’impliquent cette évolution n’altèrent en rien l’originalité de l’union régionale par rapport au schéma traditionnel -centres sociaux associés en fédérations, elles-mêmes associées en une fédération nationale (FCSF)-, originalité partagée avec quelques autres unions régionales du même type. Elles contribuent au contraire à renforcer son efficience, ainsi que sa reconnaissance par le réseau national.

Le délai pris – 2 ans – pour conformer le réseau régional des centres sociaux et espaces de vie sociale aux particularités administratives et géographiques de la région politique a un sens : il était essentiel de prendre le temps nécessaire aux représentant·e·s des 12 départements pour élaborer ensemble cette nouvelle entité. Une démarche sans débat constructif n’aurait pas permis de mettre en place l’organisation et le fonctionnement adaptés aux objectifs partagés de l’association.